La légende
Une légende issue de la romancière Marcelle Adam est associée au Sacré de Birmanie. Elle révèle qu’il y a longtemps en Birmanie, dans un temple consacré à une déesse aux yeux bleus , un vieux prêtre possédait un chat blanc nommé Sinh.
Un jour, le temple fut envahi et les ennemis tuèrent le vieux prêtre. Sinh sauta sur la tête de son maître en regardant dans les yeux la statue de la déesse. Ses yeux devinrent alors saphir comme ceux de la déesse et sa fourrure prit une teinte dorée, sauf le bout de ses pattes qui restèrent blanches comme la chevelure du vieux prêtre.
Quelques jours plus tard, Sinh mourut de chagrin et tous les chats qui vivaient dans le temple subirent la même métamorphose, devenant les premiers chats Sacrés de Birmanie. On raconte que ce chat provient du temple de Lao Tsun, en Birmanie, le premier couple de ces chats aurait été apporté en France sur le yacht d’un milliardaire américain en 1920. Le mâle mourut pendant la traversée, mais la femelle Sita, qui avait été couverte, mit au monde une portée de chatons . Rien ne prouve l’existence de ce temple.
L’historique
Selon d’autres sources , le chat Sacré de Birmanie serait originaire de l’Ouest de la Birmanie et des chats avec des gants semblables seraient visibles sur d’anciens documents thaïlandais.
Des prêtres des temples Khmers auraient offert de tels chats au Major Gordon Russell, un Anglais, et à son ami Auguste Pavie. Ou encore, les chats auraient été achetés par un Américain du nom de Vanderbilt à un ancien serviteur du temple de Lao-Tseu dans lequel les chats étaient vénérés en tant que chats sacrés.
Tout cela peut rester au conditionnel, car rien n’a été prouvé.
Le Sacré de Birmanie s’est développé en France. A l’origine avec une chatte nommée SITA unie à un matou dont on ne connaît presque rien. De cette union naquit Poupée de Madalpour.
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